« Les jeunes femmes entendent souvent en cette période d’hiver, de magie et de nostalgie …
Qu’elles sont adorées,
Qu’elles incarnent le propre de l’Idéale,
Qu’elles respirent la joie et qu’elles font beaucoup d’envieuses,
Qu’au temps où elles étaient petites, les autres étaient jeunes et belles,
Qu’elles ne disent aucune parole vulgaire ni n’ont des airs moroses,
Que, dans l’hiver fameux, elles traversent allègrement Paris gelé dans son manteau blanc,
…. Alors les jeunes femmes, pensives, s’abriteront sous les arbres profonds. »